Pour la semaine du 1er au 7 avril, le service de train a dépassé son objectif de 95 % pour une sixième semaine consécutive avec une ponctualité de 97,4 %.
Taux de ponctualité de 97,4 %
Ligne Candiac (96,7 %) : seulement deux retards ont été causés par le passage prioritaire d’un navire nécessitant la levée du pont ferroviaire Saint-Laurent dans la voie maritime du Saint-Laurent.
Ligne Deux-Montagnes (97,8 %) : les deux principales causes de retards sont une inspection de la voie ferrée et un passage à niveau défectueux.
Ligne Mascouche (100 %) : aucun retard.
Ligne Mont-Saint-Hilaire (100 %) : aucun retard.
Ligne Saint-Jérôme (95,5 %) : un problème de propulsion sur le matériel roulant a causé 4 retards sur cette ligne cette semaine.
Ligne Vaudreuil-Hudson (96,6 %) : la principale cause des retards est liée à des décisions du centre de contrôle ferroviaire.
Pour la semaine du 8 au 14 avril, le service de train a dépassé son objectif de 95 % pour une septième semaine consécutive avec une ponctualité de 97,2 %.
En mars dernier, nous annoncions l’implantation d’un tout nouveau système de radio et de communication en vue d’améliorer la fluidité dans nos échanges avec les équipes de trains. De quoi s’agit-il exactement ?
Pour la semaine du 1er au 7 avril, le service de train a dépassé son objectif de 95 % pour une sixième semaine consécutive avec une ponctualité de 97,4 %.
Lors de la présentation du plan d’action du RTM en mars dernier, des investissements ont été annoncés, notamment sur le matériel roulant, afin d’améliorer de façon durable la fiabilité et la ponctualité du réseau de trains.
Certains retards sont engendrés par les assistances médicales prodiguées aux clients. Le temps écoulé entre l’intervention et le retour à la normale du service est variable selon la gravité de l’intervention, mais dure en moyenne 17 minutes.
Les voitures MR-90 circulent sur la ligne Deux-Montagnes qui fêtera cette année son 100e anniversaire. Elle est l'une des plus vieilles lignes de trains électrifiées en Amérique du Nord. Cette ligne d’une trentaine de kilomètres a été reconstruite au milieu des années 1990.
Lorsqu’une porte défectueuse ne peut se refermer, le système de sécurité immobilise le train. Le chef de train est alors responsable d’identifier et de corriger le problème en verrouillant la porte ou en retirant, si possible, le débris qui empêche sa fermeture. Cette situation peut causer un retard.